Être là...

Chaïco marchait d'un pas lasse à travers la forêt aux grands saules. Il n'avait grand chose en tête mis à part se la vider complètement. Les tracas que lui infligeait d'être chef de meute dans ses temps ci le tourmentait. Il ne savait plus quoi faire pour récupérer son territoir et pour exterminer les voleurs. Ces foutus loups avait tuer tout ceux qu'il aimait. Sa famille, ses espoirs et ses terres comment revenir en arrière. Il savait bien que s'était impossible mais il espérait toujours. Aïka était toujours là, derrière lui à le suporter. Sa bien aimé aussi avait beaucoup souffert ses derniers temps. Sa famille d'adoption, ses amis, ils avait tous péris dans la grande bataille. Les éffectifs de la meute était au plus bas. Il leurs serait difficile de remonter la pente.

Oui, les difficultées qui s'annoçaient paraissaient insurmontable.
Mais avec du courageet de la tenacité, on arrivait à tout.
Toujours.
Aïka s'avança de son pas léger vers Chaïco :
- Ne t'inquiéte pas. Nous tiendrons. Nous avons toujours tenu...

Le mâle se retourna le regard plein de désespoire et d'inquiétude. Il n'avait pas entendue sa belle arriver. Elle avait toujour su être d'un grand réconfort à son égard mais là, il ne savait pas si il surporterait le coup. Tout ceux qu'il avait aimé mit à part elle était mort. Il ne les reverrait plus jamais. Sont père lui avait laisser la meute en éritage mais il ne savait pas si il serait capable de la diriger comme lui toujours droit, sur le bon chemin.

-AÏka, tu crois que je serait à la hauteur... Si père n'était pas... tu comprend je n'orrait pas prit la meute aussis jeune. Je ne sais pas si je suis prèt pour la diriger. Toi aussi, tu n'y serait pas à la tête si mère ne l'avait pas rejoin... Le désespoir me ronge de l'intérieur.

Ses grands yeux de louvetaux la regardait avec espoir de trouver en elle du réconfort. Tout était si compliqué à présent. Comment vivre comme ça?

(une petite citation très appropriée..)

- Aux âmes bien née, la valeur n'attent pas le nombre d'années.
C'était vrai.
Chaïco n'avait pas fait d'erreur jusqu'à maintenant, et toute sa meute lui faisait confiance.
Il serai un bon chef, ça se voyait.
Il avait juste peur de faire des faux pas.
Mais le vrai courage, n'est-ce pas de vaincre sa peur ?

Chaïco trouvas son réconfort en les paroles d'Aïka. Elle avait raison. Sa seule présance le rassurrait énormément. Le mâle se levas et se mit à vixer les étoiles. Peut-être qu'au fond Père et mère ne l'avait pas quitter. Ils les protègeraient du haut de la voute étoilé.

-Que fait-on? Nos éffectifs ne nous permette pas une nouvelle tentative d'attaque. Pourtant, je suis persuadé que eux aussi sont faible. Ce serait un bon moment pour les prendre pars surprise et venger nos morts.

La tristesse avait fait place à la rage dans sa voix. Il était plein de conviction et d'assurance à présent. Oui il serait capable de venger tout ses proches. Aïka serait toujours là et encemble, il retrouverait la paix d'autre fois.

Aïka gratta le sol du bout de la patte : ce tic accompagnait toujours une intense réflexion.
Elle hésita :
- Je n'en suis pas sûre... Attaquer les Aïkoons, même affaiblis, c'est jouer l'avenir de la meute. Si c'est une victoire, il seront anéantis. Si c'est une défaite... Alors... Nous...
La louve noire n'acheva pas sa phrase.
Prononcer ces mots étaient audessus de ses forces.
*Si nous perdons, nous disparaitrons.... *

Un lourd silence accompagna les paroles de Aïka. Chïco en avait avait comprit le sence et la gravité qui les accompagnaient.

*Attaquer les voleur de terre serait une pure folie, je mainerait la meute à sa destruction quasi assuré. On ne sais même pas si il son vraiment affaiblit et faible tout comme nous.*

Le mâle plogea ses yeux couleurs de brume dans ceux qu'il aimait tent. Il pouvait y lire une certaine engoisse mais qui ne laissait place, en majorité, qu'a une grande bravour.

-Tu as raison... Ma soif de vengeance ne doit pas m'aveuglé et memener notre troupe à la mort. Nous devont plutôt nous préparer à une déffence ou à une contre attaque si il devait nous arriver malheur...

- Refaire nos forces est notre priorité. Former les apprentis, aménager une cachette pour les embuscades, envoyer les loups en patrouilles près de la Gorge Turquoise... Ce genre de chose est très important. Je doute que les Aïkoons se préoccupes de ça : il ne penserons qu'à sur-entraîner leurs combattants... Nous, nous devons leur rendre leurs forces.
Aïka ne se laissait pas abattre.
Soigner la meute était le meilleur moyen de la mener à la victoire.

Le mâle aquiessa de la tête. Sa compagne avait totalement raison mais comment ce portait la meute adverce? Cette idée l'oppcédait.

-Je part voir comment ce porte les Aïkoons... Je veut savoir si il sont aussi mal empoint que nous. Je vait partire au soleil levant. Si je ne revien pas... Tu sais ce que tu as à faire.

Chaïco fit mine de partir en direction de leurs anciennes terres. Il avait envis de connaitre le sort qu'avait imposer la meute céleste à leurs énemis. D'un autre côté, il ne devait pas mourrir. Que ferait Aïka et les autres sans lui? Il éloigna ses pencé lugubre et partit pour de vrais avec une démarche confiante. Mais à l'intérieur de son âme, il sentait une grande bataille faire en en lui. Bien ou Mal?

- Je t'accompagne jusqu'à la gorge Turquoise. Si tu as des ennuis, tu pourras m'appeller...
L'accompagner dans son expédition aurait augmenté les risques d'être repéré.
Mais Aïka ne laisserai pas Chaïco seul.

Le mâle fut soulagé part cette propositon. Il inclina la tête
en signe d'accord.

-Bien, mais pas plus loin car si il m'arrivait quoi
que ce soit je ne veux pas que la meute ce retrouve
démunit devant une nouvelle attaque si il a lieux...

Personne ne pouvait prévoir les réactions d'Aïka.
Si Chaïco avait des ennuis, même un ordre venant de lui ne l'empêcherai pas de venir.
Mais enfin, pour commencer, mieux valait s'arrêter à la frontière...
- D'accord.

Chaïco remercia sa douce et il partirent à la frontière encemble.

(Suite à la frontière un peut plus tard...)